Pour le pire et le ... meilleur ? Rien de tel qu'un pavé de Stephen King pour entamer les lectures de l'été ... Mais autant ne pas y aller par quatre chemins : j'ai trouvé L'institut un peu longuet. Après un début en fanfare, le célèbre auteur prend son temps pour mettre les choses en place et faire avancer les évènements. Bien que dans mes souvenirs King est plutôt coutumier du fait, c'est presque un comble pour ce type de roman qui est supposé mettre en avant l'action et les rebondissements. Pour le coup, on a le temps de s'attacher aux personnages, notamment à Luke et à Tim qui ne se connaissent pas encore mais dont on devine rapidement qu'ils vont devenir alliés face à l'adversité. L'adversaire : une organisation secrète qui enlève des enfant surdoués pour exploiter leurs dons dans un but mystérieux, pour le pire ... et le meilleur ? Après l'ultime point culminant de l'action, les explications arrivent enfin au cours d'un épil