C'est le sixième bouquin du romancier américain que je termine.
J'aime toujours autant ça malgré le fait que je me rends maintenant
compte qu'ils ont tous plus ou moins la même trame :
la descente aux enfers, avant la remontée à la surface tout de même,
d'un homme ou d'une femme aux prises avec un quelconque piège
professionnel, conjugal et/ou au sein de sa communauté.
Dans 'Rien de va plus', la victime est un scénariste de télévision qui voit enfin sa carrière décoller avant de subir les coups du destin ... Y est faite, comme presque toujours chez Kennedy, la critique au vitriol de la société américaine. Ici le milieu superficiel et opportuniste de l'audiovisuel de Los Angeles est dépeint de façon édifiante avec le récit, par le menu, de la grandeur et de la décadence un scénariste porté aux nues quand tout va bien et mis plus bas que terre pour pas grand chose sous le poids médiatique.
Il ne s'agit pas de mon roman préféré de Douglas Kennedy mais je l'ai lu avec grand plaisir. Un bon moment de lecture que j'ai avalé rapidement comme d'habitude avec lui.
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