Je continue ma lecture de l'oeuvre de
Douglas Kennedy, que j'aime beaucoup. Ses romans me parlent pour je ne
sais quelle raison obscure. Déjà, ils sont faciles à
lire et quand on commence, on avance en général vite pour vite
connaître la suite. La fille du Ve ne fait pas exception à la règle.
L'intrigue se passe à Paris cette fois-ci. Un américain,
fuyant son pays pour une raison qu'on découvre petit à petit, arrive
dans notre capitale. Cela ne va pas être une sinécure. Cette femme
mystérieuse habitant le Ve arrondissement, avec qui il a
une aventure, est-elle sont alliée ou son ennemie ?
Le suspense est
bien-là. La descente aux enfers est bien amenée et on se demande comment
il va s'en sortir. Pourtant, à titre personnel, je
mets un bémol à la dernière partie car l'apparition du surnaturel
pour faire retomber l'intrigue sur ses pieds ne me parle pas. Je trouve
ça un peu facile et, par nature, pas crédible. Pourtant,
j'ai aimé lire ce roman-ci autant que les autres. Le côté sympa de
celui-ci est que l'écrivain semble bien connaître bien Paris. Cela se
voit dans la description plutôt précise de nos rues.
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